Salut boss,
Cette semaine, je te fais découvrir le format “bootcamp” et je t’explique les raisons qui m’ont poussé à lancer le mien.
Je te partage aussi les victoires de la semaine, et une épiphanie pour ne pas paniquer face à la fameuse “baisse du reach” sur LinkedIn.
Best et bon week-end,
Le merlan free
Merci au partenaire de cette édition : James Inbound
James Inbound, un concentré de ressources pour apprendre à mettre le contenu au service de ta croissance : livres blancs, articles, podcast. Récupère ta malette de l’Inbound, celle que Q remet à tous ses nouveaux agents, et laisse-toi guider.
🚀 Créer une offre “bootcamp”
Je lance le bootcamp “Machine Inbound pour solopreneurs”. L’occasion de te parler des spécificités de ce format et de pourquoi je l’ai choisi.
Le format bootcamp
Un bootcamp, c’est un format en groupe. En anglais, le terme c’est “cohort-based coaching”, ou accompagnement en cohorte.
Il s’agit d’un format 100% en ligne qui permet de progresser au sein d'une promo, en se soutenant et en passant à l'action.
Ça fait un moment que ça cartonne aux US. La boss du domaine, c’est la marketeuse Wes Kao, qui a carrément créé la plateforme Maven pour que les entrepreneurs puissent concevoir et diffuser leur propre bootcamp facilement. J’ai dédié un post à Wes si tu veux la découvrir.
En France, les bootcamps arrivent en force : c’est une offre prisée par les solopreneurs qui veulent diversifier et scaler.
Un format rentable et abordable
Pas besoin d’avoir fait Saint-Cyr pour comprendre que le format bootcamp est plus “scalable” (et donc plus rentable) que l’accompagnement individuel : au lieu de répéter la même chose 12 fois, tu la dis une fois à 12 personnes.
Mais c’est aussi un format plus abordable pour le client final.
Par exemple :
→ Prix d’une prestation “création de machine Inbound” pour une start-up : entre 5000€ et 10000€ HT par mois pendant 3 mois.
→ Prix du bootcamp “machine Inbound pour solopreneurs : 1500€ HT.
Je ne ferai pas tout pour toi, mais ça te coûtera moins cher. Et ça n’enlève rien à la qualité de l’accompagnement.
Dans ton cas, c’est plus abordable.
Dans le mien, c’est plus rentable.
J’adore ce format bootcamp, et j’en déjà suivi deux cette année :
→ Celui de Floriane Bobée, Solozen, pour faire passer son business au niveau supérieur sans s’épuiser.
→ Celui de Thibault Louis, Solomédia, pour apprendre à créer son média en tant que solopreneur.
Le point commun des deux loustics ? Ils ont créé leur propre catégorie.
Une manière d’être solo dans sa catégorie
Mets-toi dans la peau d’un réalisateur de film qui veut marquer les esprits.
Tu comptes cartonner avec une comédie romantique ? Trop dur. Les meilleures sont déjà en place.
Tu comptes cartonner avec un film de zombie ? Trop dur. Les meilleurs sont déjà en place.
Par contre, tu peux cartonner en mixant ces deux catégories : ça donne “Shaun of the Dead”, une comédie romantique avec des zombies (7,9/10 sur IMDb, rien que ça)
C’est le concept de “category design” de l’auteur Nicolas Cole : pour être le meilleur d’une catégorie, le plus simple c’est de créer la tienne.
Appliqué à mon business, ça a donné un truc du genre :
→ 2021 : “Je suis freelance en marketing”
Le problème ? Tout le monde le fait.
La solution : se nicher.
→ 2022 : “J’accompagne les startups et les solobusiness en Inbound marketing”
Le problème ? Les startups ont du budget mais ont un poil dans la main. Les solopreneurs sont surmotivés mais n’ont pas de budget.
La solution : se nicher encore plus.
→ 2023 : “Je t’aide à créer ta machine Inbound à un prix abordable dans un bootcamp pour solopreneurs”
Bingo.
En prime, j’ai réuni deux mondes que j’adore : le freelancing / solopreneuriat et le marketing. Puis je ne suis pas un cordonnier en tongs : je l’ai fait pour moi, je peux le faire pour les autres.
Avant, j’avais une offre large (tous les leviers du marketing) pour une cible large (B2B / B2C / toutes les entreprises).
Aujourd’hui, j’ai une offre spécifique (machine Inbound) pour une cible spécifique (solopreneurs).
Avant, j’avais des “concurrents”.
Aujourd’hui, je suis tout seul dans ma catégorie.
Des concepts similaires pour t’aider à te nicher quand ça sera le bon moment pour toi : le “monopole personnel” de David Perell, la “specific knowledge” de Naval Ravikant et la “stratégie Océan Bleu” de Kim et Mauborgne.
Allez sans plus attendre, je te présente mon bootcamp Machine Inbound pour solopreneurs : 4 semaines pour construire un système qui vend pour toi.
Réponds à ce mail si tu as des questions, je me ferai un plaisir de te renseigner.
👻 Victoires de la semaine
Le format carrousel pour éduquer sur l’Inbound fonctionne hyper bien. Déjà deux pour le moment : L’Inbound sans franglais et Créer un livre blanc à partir de 10 posts LinkedIn. C’est décidé, je vais continuer.
Lancement officiel du bootcamp avec cette édition ! Et déjà une place de réservée et quatre personnes intéressées. Avant même de lancer. C’est aussi ça la force de l’Inbound et du Build in Public.
Un push de la formation Machine Inbound dans la newsletter de Scalezia en rubrique “Pépite de la semaine” (rien que ça), et un retour de Christian François (COO de Scalezia) pour couronner le tout :
🌊 Solo mais pas sous l’eau
Chaque semaine, un profil de solo à découvrir, qui partage un projet qui peut t’aider à avancer. Et qui te dit des mots doux pour que tu passes un bon week-end.
Cette semaine, c’est Axel Kaletka du podcast ”Le café du market” qui prend la parole :
Cédric te parle beaucoup de freelancing et un peu de marketing. Moi, je vais te parler beaucoup de marketing et très (très) peu de freelancing !
Parce que le marketing B2B ne s’apprend pas sur les bancs de l’école.
Je t’ai construit une newsletter avec mes apprentissages et des études de cas : un condensé de bonnes pratiques pour faire ta veille sans perdre de temps, rien que pour tes yeux.
Pour t’abonner, c’est par ici !
💡 Épiphanie de la semaine
Tu as remarqué que ça paniquait chez les freelances en ce moment ?
Le sujet : la baisse de la portée des posts sur LinkedIn, le fameux “reach”. Tout le monde y va de son analyse :
→ Il y a de plus en plus de créateurs sur la plateforme
→ L’algorithme de la plateforme est en train d’être modifié
→ LinkedIn baisse le reach organique pour pousser son modèle payant
Mon avis sur la question ? Pas le temps d’en avoir un.
Mais si tu fais partie de ceux qui paniquent, j’ai trois pistes pour toi :
1/ Relativise : il y a une baisse “ressentie” et une baisse “réelle”.
Grâce à Shield, je connais les statistiques moyennes d’un de mes posts en 2022 vs. 2023.
Post moyen 2022, sur la base de 351 posts : 34 likes / 20 commentaires / 4200 impressions
Post moyen 2023, sur la base de 114 posts : 52 likes / 27 comments / 4600 impressions
Si tout était resté “normal comme en 2022” (1 like ≈ 123 impressions), “j’aurais dû” faire 6400 impressions au lieu 4600. Soit une "baisse de reach" de 1800 impressions en moyenne par post.
Baisse de portée ressentie = reach divisé par 10.
Baisse de portée réelle = reach divisé par 1,4.
2/ Diversifie : newsletter, podcast, blog, livres blancs, etc.
Tu ne veux pas dépendre de l’algorithme de LinkedIn ? C’est tout à ton honneur.
Du coup, ne mets pas tous tes oeufs dans le même panier, crée du contenu moins périssable, apprends à recycler.
Profite de LinkedIn pour déplateformer ton audience et l’amener dans ta propre base d’emails, via une newsletter et/ou une machine Inbound.
3/ Progresse : fais de meilleures accroches, recalibre ta stratégie, pense de nouveaux formats.
Va à l’inverse de la méta actuelle qui pousse à poster des selfies 2-3 fois par jour. Fais moins, mais mieux. Trouve de nouveaux concepts.
Vois tout ça comme l’opportunité de te former, de tester de nouvelles choses.
Et quoi que tu fasses : don’t panic.
C’est tout pour aujourd’hui. Si ce n’est pas déjà fait, tu peux :
Rejoindre 25+ entrepreneurs de la formation “Machine Inbound 101” pour apprendre à créer la tienne et attirer tes futurs clients.
Rejoindre le bootcamp “Machine Inbound pour solopreneurs” : 4 semaines pour créer un système qui vend pour toi. Dates : du 6 au 29 juin. 11 places disponibles.
Te rendre visible auprès de 700+ merlans en sponsorisant cette newsletter. Prochaine dispo le 12 mai.
Merci de m’avoir lu jusqu’au bout ! Si ça t’a plu, tu peux cliquer sur le coeur juste sous le titre et partager cette édition autour de toi.
Et si c’était tout naze, tu peux me virer. Dans ce cas, ça m’aiderait beaucoup d’avoir ton feedback pour la suite de mes aventures.